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Secours populaire français
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Historique

Secours populaire français - Historique




Années 2000


-2000, Bengladesh : le SPF construit des logements en partenariat avec l’association Gonoshastaya Kendra Savar.

-Octobre 2001, Pakistan : par l’intermédiaire d’une ONG islamique locale, Dawa, le SPF fournit une aide médicale aux réfugiés afghans du camp de New Shamshatoo à Peshawar.

-Mars 2002, Tchétchénie/Ingouchie : le SPF démarre un partenariat avec MDM et une ONG polonaise fondée en 1998, IHI (International Humanitarian Intervention).

-2003, Israël/Palestine : le SPF continue sa collaboration avec l’UPMRC (Union of Palestinian Medical Relief Committees), qui dispose déjà de beaucoup de fonds et concentre ses efforts sur la Cisjordanie plutôt que la bande de Gaza.

-2005, Indonésie : l’association intervient pour aider les victimes du tsunami de décembre 2004. Dans le cadre de l’Opération Beryx, elle utilise alors la logistique de l’armée française pour acheminer les secours auprès des villageois isolés par le raz-de-marée. Mais elle pâtit d’un manque de coordination avec les autres acteurs de l’aide dans la région d’Aceh. A Lambada, relève par exemple la Cour des comptes, le SPF finance une criée et une coopérative de pêcheurs qui s’avèrent redondants, tandis que son unité de fabrication de glace ne fonctionne jamais et est aussitôt mise au rebut.

-2006, Thaïlande : venu aider les victimes du tsunami de décembre 2004, le SPF doit revoir à la baisse ses projets car les besoins sont largement couverts par d'autres ONG. Le programme qu'il inaugure en octobre 2006 perd ainsi une partie de ses bénéficiaires et aboutit à la construction de 23 maisons au lieu des 53 initialement prévues. Dans le district de Kuraburi, où il avait un projet de coopérative de pêcheurs, le SPF doit également renoncer à donner des bateaux car les habitants concernés en sont déjà pourvus. Dans le même ordre d'idées, il ne peut s'étendre en Indonésie car la place y est prise par de très nombreuses ONG.