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Amitié Franco-Afghane
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Droit de réponse

Amitié Franco-Afghane - Droit de réponse




L’Observatoire remercie l’AFRANE de sa collaboration. La partie « historique » de ce profil a été remaniée suite à une entrevue le 28 mars 2003 avec M. Etienne Gille, directeur de publication des Nouvelles d’Afghanistan et président de l’AFRANE, et M. Alain Marigo, secrétaire général de l’association. L’ensemble de la description ne provient cependant pas de cette seule interview ; des sources contradictoires ont été utilisées.

Dans un mail du 22 novembre 2007, M. Bernard Dupaigne, président de l’AFRANE, précise le point suivant : Dans votre chronologie 1992, vous écrivez que l'Afrane ne disposait pas de représentant permanent sur place, dans la province du Logar. C'est vrai, mais tous les ans, moi ou d'autres envoyés, y passaient au moins un mois. Vu les conditions de sécurité, et l'extrême proximité de la base soviétique d'hélicoptères, que l'on voyait du haut des toits de maisons, il n'était pas possible de risquer la mort de villageois par bombardements. Les employés n'étaient pas des combattants, ne portaient pas d'armes, et étaient rémunérés pour faire réaliser les travaux agricoles, surtout dans les domaines de l'irrigation des terres agricoles. Evidemment, il n'était pas possible de travailler sur place au bénéfice de l'augmentation de la production agricole sans l'accord des autorités locales. Le Dr Fazlullah à l'époque, mais nous ne rémunérions aucun de ses combattants armés. De même, nous avons pu continuer nos actions de développement agricole sous le régime des taleban, et dans d'autres régions sous d'autres régimes. En effet, tous ces dirigeants étaient issus du peuple, et voyaient d'un bon oeil les actions visant à augmenter la production agricole.

​Rédacteur de la fiche et date de Mise à jour : M.-A.P.d.M., 9-12-2011